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Ici vivent une trentaine de migrants, sans-papiers. Une micro-société avec ses histoires d’amour, ses conflits, son commerce, ses jeux d’argent, son bar, son système économique et ses devoirs scolaires. A « Guantanamo », on survit dans une Algérie qui ne laisse que très peu de place à l’Africain. Mai 2015.

 Hormis leurs parents, Dora et Pharell peuvent compter sur la bienveillance de Prince. Chaque jour, il veille sur eux le temps d’un goûter ou des devoirs. janvier 2015.

Hormis leurs parents, Dora et Pharell peuvent compter sur la bienveillance de Prince. Chaque jour, il veille sur eux le temps d’un goûter ou des devoirs. janvier 2015.

   
  
 
  
    
  
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Située en banlieue d’Alger, cette maison de deux étages, sans toit, est surnommée «Guantanamo» par ses habitants, parce qu’ils disent qu’ils s’y sentent parfois comme en prison. Février 2017.

   
  
 
  
    
  
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Mimi et sa fille s’ennuient. Les femmes migrantes en Algérie sont particulièrement fragilisées, car trouver du travail est encore plus compliqué que pour les hommes. Février 2017.

   
  
 
  
    
  
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Rodrigue vient de finir de déménager les meubles d’une famille algérienne de Kouba. Demain, il sera manoeuvre sur un chantier de construction en périphérie d’Alger. Travailler est une préoccupation quotidienne pour lui. « Chaque jour, nous sommes obligés de « nous chercher » pour assumer nos besoins quotidiens (logement, nourriture, transport), c’est ça d’être en aventure » m’explique Rodrigue. juillet 2016

   
  
 
  
    
  
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Aïcha, 31 ans, ivoirienne voudrait louer un appartement mais elle n’y arrive pas. En attendant, elle prépare des plats traditionnels qu’elle vend aux résidents comme Walter, lui se débrouille en Algérie en tant que DJ et organisateur de soirée dansante. Juillet 2016

   
  
 
  
    
  
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Quand on ne travaille pas à l’extérieur de la maison, on tue le temps sur les réseaux sociaux, avec l’alcool ou la télévision. Juillet 2016.

   
  
 
  
    
  
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Mouss’, DJ algérien, est régulièrement sollicité par la communauté camerounaise pour assurer l’ambiance musicale comme ici lors d’un tournoi de football. Janvier 2015.

 Yvette. Janvier 2015

Yvette. Janvier 2015

 Yvette est malade. Les associations qui travaillent avec les migrants tentent de leur garantir l'accès aux soins dans les hôpitaux algériens. Yvette est donc accompagnée au centre de santé par un autre migrant, référent d'une association. Janvier 20

Yvette est malade. Les associations qui travaillent avec les migrants tentent de leur garantir l'accès aux soins dans les hôpitaux algériens. Yvette est donc accompagnée au centre de santé par un autre migrant, référent d'une association. Janvier 2015.

   
  
 
  
    
  
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Jour de match. Une occasion pour les résidents de s’aérer l’esprit et se dépenser physiquement. Ceux qui sont en Algérie, on dû traverser le Niger et le désert du Sahara. Certains résidents sont installés à Guantanamo depuis plus de dix ans, d’autres depuis quelques mois. Rebrousser chemin et rentrer au pays sans argent est inimaginable. Traverser la Libye et la mer Méditerranée demande des moyens financiers. A ce stade de leur errance, beaucoup éprouvent le sentiment d’être des «migrants ratés». Février 2017.

   
  
 
  
    
  
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Mimi et Farel viennent de rentrer de l'école. Anne, leur maman, (à gauche de l'image), attend que le lait chauffe pour leur goûter. Elle a décidé qu’à la rentrée prochaine ils ne seraient plus là. Juillet 2016.

   
  
 
  
    
  
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Portrait de famille. Fabrice, Farel, Mimi et Anne posent à la Madrague. Cette photo date du 12 juillet 2016, période où Fabrice a décidé de lancer Anne sa femme et leurs deux enfants Mimi et Farel sur la route vers l’Europe via la Lybie. Une décision très compliquée à prendre après plusieurs années de vie ensemble, à 4, en Algérie… Après plus de 3 semaines de voyage, Ils sont bien arrivés en Italie.  Juillet 2016.

   
  
 
  
    
  
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Fabrice est arrivé en Algérie du Cameroun il y a 16 ans. Contrairement à la plupart des habitants du bâtiment, il a un emploi fixe. Son travail consiste à faire de la prévention-santé auprès des migrants installés en Algérie pour une ONG. En 16 ans de vie sur le territoire algérien, il connaît beaucoup de monde. Mais désormais, son quotidien est tourné vers l’Europe. Depuis le mois d’août, sa femme et leurs deux enfants sont en Europe. Fabrice supporte mal cette solitude. Il fait des cauchemars depuis que sa femme et ses enfants sont partis. Il cherche à tout prix un moyen de gagner de l’argent pour les rejoindre. Novembre 2016.

 Située en banlieue d'Alger, cette maison de deux étages, sans toit, est surnommée "Guantanamo" par ses habitants parce qu'ils disent qu'ils s'y sentent parfois comme en prison. Septembre 2017.

Située en banlieue d'Alger, cette maison de deux étages, sans toit, est surnommée "Guantanamo" par ses habitants parce qu'ils disent qu'ils s'y sentent parfois comme en prison. Septembre 2017.

   
  
 
  
    
  
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Un terrain vague, une mosquée, une cité H.LM., un abribus, et des bâtiments en construction entourent la maison. Février 2017.

 K. 20 ans et W. 9 ans sont arrivés à "Guantanamo" depuis 3 mois. Le plus grand travaille de temps en temps sur des chantiers, le plus petit s'ennuie beaucoup. Comme eux, d'autres résidents tuent le temps. Les journées sont parfois très longues...Des

K. 20 ans et W. 9 ans sont arrivés à "Guantanamo" depuis 3 mois. Le plus grand travaille de temps en temps sur des chantiers, le plus petit s'ennuie beaucoup. Comme eux, d'autres résidents tuent le temps. Les journées sont parfois très longues...Des écouteurs, un téléphone portable, une tablette, une bière, un jeu de cartes permettent de se distraire. Septembre 2017.

 "Ici, c'est un ghetto payant". R. vit ici depuis 12 ans. Sa femme et sa fille viennent d'arriver à Paris depuis quelques semaines. Septembre 2017.

"Ici, c'est un ghetto payant". R. vit ici depuis 12 ans. Sa femme et sa fille viennent d'arriver à Paris depuis quelques semaines. Septembre 2017.

   
  
 
  
    
  
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Stella vit chez Fabrice depuis que sa femme est partie. Elle s’occupe donc de faire la cuisine et le ménage. Elle aime s’amuser mais est plutôt discrète. Elle est amoureuse d’un Camerounais qui vit à Tamanrasset, mais elle n’est pas insensible aux flatteries des hommes de passage. Elle veut elle aussi partir en Europe, mais sans moyen pour le faire, elle cherche celui qui pourra lui financer le voyage. Novembre 2016.

   
  
 
  
    
  
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Les possibilités de trouver du travail pour les femmes étant réduites, certaines d’entre-elles tressent les cheveux pour s’en sortir. Juillet 2016.

   
  
 
  
    
  
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 Nicole habite à Oran. Depuis que Anne, la femme de Fabrice est partie, elle est régulièrement dans le bâtiment. Elle fait à manger, s’occupe un peu de la maison, mais aime aussi beaucoup faire la fête. Elle a laissé deux enfants dans son pays. Son petit-ami actuel est emprisonné à l’ouest de l’Algérie. . Parfois, elle s’effondre, fatiguée de toutes les contraintes, de la violence des rapports entre les hommes et les femmes, de la difficulté de vivre une vie de femme. Novembre 2016.

 

   
  
 
  
    
  
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Un des passe-temps favoris des hommes est de jouer au poker. Chacun misent entre 1000 et 3000 dinars. Bayar insiste pour être photographié « pour que mes parents découvrent dans quelle galère je vis ». Alger. Janvier 2015.

   
  
 
  
    
  
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Michelle attend qu’un jour Bob, son mari, se décide à emmener toute la famille en Libye, pour prendre la mer. Cette jeune ivoirienne, dont la soeur est installée au Maroc, sait que depuis plusieurs mois, des dizaines de migrants qu’ils connaissent sont arrivés en Italie. Isolée, sans travail, sans lien avec le monde extérieur, elle déprime dans la petite pièce avec sa fille Mira où elle passe ses journées à attendre le retour du travail de Bob. Juillet 2016.

   
  
 
  
    
  
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Rodrigue est un ami proche de Michelle, Bob et Mira. Quand il ne travaille pas sur des chantiers, il leur rend visite. Souvent, ils mangent ensemble. Agé de 33 ans, camerounais, il refuse, comme eux, de se mêler aux «combines» et compte payer son billet pour l’Europe avec l’argent de son travail. Novembre 2016.

   
  
 
  
    
  
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Chambre de Michelle, Bob et leur Mira. Une petite pièce dans laquelle Michelle prépare régulièrement des plats traditionnels ivoiriens qu’elle vend à des ouvriers guinéens ou maliens qui travaillent sur des chantiers voisins. Février 2017.

   
  
 
  
    
  
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Bâtiments en construction situés dans la banlieue Ouest d’Alger dans lesquels travaille Bob. Le mari de Michelle. Avec d’autres ouvriers ivoiriens, ils s'occupent de la la maçonnerie du chantier. Novembre 2016.

   
  
 
  
    
  
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Ivoiro-Libérien, Bob travaille dans des chantiers de construction pour gagner sa vie. Il bénéficie du réseau camerounais grâce à Michelle, mais préfère lui aussi s’en maintenir à l’écart. Il partage avec Rodrigue le goût du travail. Il aimerait partir en Europe, mais les économies sont difficiles à constituer avec son salaire journalier de 1500 dinars, qui est l’unique ressource de sa famille. Novembre 2016.

 «Nous avons discuté, oh, c’est vrai. On a beaucoup bougé, oh c’est vrai. Résultat, on a rien réalisé. Je vais rester ici pour m’occuper de ma famille».  
  
 
  
    
  
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«Nous avons discuté, oh, c’est vrai. On a beaucoup bougé, oh c’est vrai. Résultat, on a rien réalisé. Je vais rester ici pour m’occuper de ma famille». Les maçons chantent des chants populaires ivoiriens même si les tâches sont physiques. Ici, on échange sur son quotidien, ses rencontres, ses histoires de famille et de co-habitation. Mais entre étrangers. Les collègues algériens restent silencieux ou se contentent de donner des ordres. Novembre 2016.

 

 R. a quitté "Guantanamo" depuis 2 mois. Il travaille sur un chantier dans lequel il loge . Une grande maison qui s'étend sur plusieurs étages. Un particulier lui a confié l'application d'enduit et de peinture. R. dort mieux depuis qu'il est arrivé i

R. a quitté "Guantanamo" depuis 2 mois. Il travaille sur un chantier dans lequel il loge . Une grande maison qui s'étend sur plusieurs étages. Un particulier lui a confié l'application d'enduit et de peinture. R. dort mieux depuis qu'il est arrivé ici. Septembre 2017.

 R. a quitté "Guantanamo" depuis 2 mois. Il travaille sur un chantier dans lequel il loge . Une grande maison qui s'étend sur plusieurs étages. Un particulier lui a confié l'application d'enduit et de peinture. R. dort mieux depuis qu'il est arrivé i

R. a quitté "Guantanamo" depuis 2 mois. Il travaille sur un chantier dans lequel il loge . Une grande maison qui s'étend sur plusieurs étages. Un particulier lui a confié l'application d'enduit et de peinture. R. dort mieux depuis qu'il est arrivé ici. Septembre 2017.

 Ici, les logements collectifs algériens de demain prennent racine. Les maîtres d'oeuvres sont souvent turcs ou chinois. La plupart du temps leurs ouvriers sont maliens, camerounais ou ivoiriens. Un ancien résident de "Guantanamo" y travaille actuell

Ici, les logements collectifs algériens de demain prennent racine. Les maîtres d'oeuvres sont souvent turcs ou chinois. La plupart du temps leurs ouvriers sont maliens, camerounais ou ivoiriens. Un ancien résident de "Guantanamo" y travaille actuellement. Septembre 2017

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Rodrigue rentre d’un chantier situé à l’est d’Alger, loin de sa maison. Il emprunte le bus afin d’économiser un maximum. En Algérie, un ticket de bus coûte 20 dinars. Son salaire journalier s’élève à 1500 dinars. Juillet 2016.

   
  
 
  
    
  
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Noé, Il partage la chambre de Rodrigue. Comme lui, Il refuse de se mêler aux «combines». Très pieux, il organise des moments de prières de la maison. Parfois, il les prolonge par téléphone. Il se présente comme étant le pasteur des lieux. Quand c’est nécessaire, il tente d’apaiser les conflits entre résidents et le voisinage. Sa parole compte. Mais lui aussi. Novembre 2016.

   
  
 
  
    
  
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Nicole et Stella partagent le même lit dans la pièce occupée par Fabrice. Quand elles s’ennuient, elles s’isolent dans leurs téléphones et naviguent sur les réseaux sociaux. Les écouteurs sur les oreilles pour mieux s’échapper de leur quotidien. Novembre 2016.

 

 A "Guantanamo", certains résidents prient en attendant des jours meilleurs. Septembre 2017. 

A "Guantanamo", certains résidents prient en attendant des jours meilleurs. Septembre 2017. 

   
  
 
  
    
  
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À la nuit tombée, certaines chambres du bâtiment se transforment en maquis. Les femmes vendent de la bière fraiche aux résidents et voisins du quartier. Un moyen de subsistance pour elles. Juillet 2016.

 

   
  
 
  
    
  
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Comme ici, dans la chambre de « Grand-mère », l’une des plus ancienne migrante camerounaise installée à Alger. Si elle ne vit pas dans le bâtiment, elle y vient très régulièrement. C’est elle qui gère le bar du deuxième étage. Novembre 2016.

   
  
 
  
    
  
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Les parties de carte s’improvisent sur la terrasse. L’alcool coule à flot. Des tubes d’Afrique de l’Ouest et anglophone résonnent jusqu’à très tard dans la nuit. Novembre 2016.

   
  
 
  
    
  
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Maquis situé au bord de la mer où les habitants de « Guatanamo » et d’autres migrants d’Alger ont l’habitude se retrouver. Un lieu propice à la drague, où les nuisances sonores ne gênent pas les voisins du quartier. Mai 2015.

   
  
 
  
    
  
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Un collectif qui regroupe les Camerounais d’Alger organisent régulièrement des soirées dansantes. Elle loue une salle des fêtes à un propriétaire algérien qui surveille le bon déroulement de la soirée. Janvier 2015.

   
  
 
  
    
  
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A « Guatanamo », la précarité est visible quotidiennement : l’électricité qui ne vient pas, la promiscuité, l’absence d’eau courante, les sanitaires bouchés. Pour y remédier, les résidents s’organisent pour maintenir le lieu propre. Novembre 2016.

    
  
 
  
    
  
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 Le propriétaire du bâtiment a coupé l’électricité depuis plusieurs jours. Un moyen pour lui de mettre la pression sur les résidents pour qu’ils s’en aillent. Le bruit, l’alcool, les va-et-vient incessants dérangent les voisins du quartier. La veille, ils ont attaqué les résidents de « Guatanamo » pour leur signifier leur ras-le-bol. Février 2017.

   
  
 
  
    
  
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L’électricité a été coupée. Le contenu des frigos a été perdu. «Guantanamo » est devenu invivable pour Michelle, Mira, Fabrice, Rodrigue et les autres. Chacun calcule ses économies et  réfléchit à une solution pour se loger ailleurs. Novembre 2016.

 

 Yvette à Agadez. Novembre 2018.

Yvette à Agadez. Novembre 2018.

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