Il est 3H30. Nous venons de passer le poste frontière de Pogo (ville située au Nord de la Côte D’Ivoire, département de Ferkessedougou). Une pause au kiosque café s’impose. Au menu : café aboki et pain beurré. On va devoir patienter jusqu’à 6h30 pou

Il est 3H30. Nous venons de passer le poste frontière de Pogo (ville située au Nord de la Côte D’Ivoire, département de Ferkessedougou). Une pause au kiosque café s’impose. Au menu : café aboki et pain beurré. On va devoir patienter jusqu’à 6h30 pour continuer notre route vers Abidjan. Samedi 27 janvier 2018.

 En plus de ses affaires personnelles, il ramène des chaussures pour ses nièces de Yopougon (Côte d’Ivoire), un sweat-shirt pour son cousin de Koonan et un écran plasma pour son père installé à Duékoué. Demain, nous prenons l’avion, direction Bamako.

En plus de ses affaires personnelles, il ramène des chaussures pour ses nièces de Yopougon (Côte d’Ivoire), un sweat-shirt pour son cousin de Koonan et un écran plasma pour son père installé à Duékoué. Demain, nous prenons l’avion, direction Bamako. Alger, le 23 Janvier 2018.

 Après une journée de grève de la compagnie aérienne Air Algérie, notre départ est enfin confirmé. Nous atterrirons d’abord à Abidjan avant de rejoindre l’Aéroport international Modibo Keïta à Bamako. 24 Janvier 2018.

Après une journée de grève de la compagnie aérienne Air Algérie, notre départ est enfin confirmé. Nous atterrirons d’abord à Abidjan avant de rejoindre l’Aéroport international Modibo Keïta à Bamako. 24 Janvier 2018.

 Notre gare de départ pour Abidjan est située à Faladie, un quartier de Bamako. « C’est pour les Touaregs cette société » m’explique Ousmane, mon ami que je n’ai pas vu depuis 10 ans. De cette gare, on peut rejoindre à moindre coût Dakar, Nouakchott,

Notre gare de départ pour Abidjan est située à Faladie, un quartier de Bamako. « C’est pour les Touaregs cette société » m’explique Ousmane, mon ami que je n’ai pas vu depuis 10 ans. De cette gare, on peut rejoindre à moindre coût Dakar, Nouakchott, Niamey ou encore Lomé. Vendredi 26 janvier 2018

 Chargement d’un taxi collectif à la gare S.O.N.E.F. de Yamoussoukro. Nous avons encore deux heures de route avant d’arriver dans la capitale ivoirienne. Samedi 27 janvier 2018.

Chargement d’un taxi collectif à la gare S.O.N.E.F. de Yamoussoukro. Nous avons encore deux heures de route avant d’arriver dans la capitale ivoirienne. Samedi 27 janvier 2018.

 Il est 3H30. Nous venons de passer le poste frontière de Pogo (ville située au Nord de la Côte D’Ivoire, département de Ferkessedougou). Une pause au kiosque café s’impose. Au menu : café aboki et pain beurré. On va devoir patienter jusqu’à 6h30 pou

Il est 3H30. Nous venons de passer le poste frontière de Pogo (ville située au Nord de la Côte D’Ivoire, département de Ferkessedougou). Une pause au kiosque café s’impose. Au menu : café aboki et pain beurré. On va devoir patienter jusqu’à 6h30 pour continuer notre route vers Abidjan. Samedi 27 janvier 2018.

 C’est autour de la gare d’Adjamé, un quartier populaire d’Abidjan que notre bus arrive. Un quartier de transit où tout s’achète et tout se vend. Après 24 heures de route, Nous sommes contents de poser un pied à terre tant la route était périlleuse.

C’est autour de la gare d’Adjamé, un quartier populaire d’Abidjan que notre bus arrive. Un quartier de transit où tout s’achète et tout se vend. Après 24 heures de route, Nous sommes contents de poser un pied à terre tant la route était périlleuse. Samedi 27 janvier 2018.

 Lors de notre passage à Abidjan. Nous sommes logés chez mon ami Clay qui habite aux 220 logements à Adjamé, un quartier populaire d’Abidjan. Samedi 27 janvier 2018.

Lors de notre passage à Abidjan. Nous sommes logés chez mon ami Clay qui habite aux 220 logements à Adjamé, un quartier populaire d’Abidjan. Samedi 27 janvier 2018.

 Mohamed et Achille, collégiens et cousins de Kader photographiés lors de notre arrivée chez le père de Kader à Duékoué. Le premier ( à droite de l’image) est le fils de Moriba Bamba, le cousin de Kader qui vit au village (Koonan) . Mardi 30 janvier

Mohamed et Achille, collégiens et cousins de Kader photographiés lors de notre arrivée chez le père de Kader à Duékoué. Le premier ( à droite de l’image) est le fils de Moriba Bamba, le cousin de Kader qui vit au village (Koonan) . Mardi 30 janvier 2018

 L’écran plasma est enfin déballé en famille. Le menuisier est là pour accrocher le poste contre la bibliothèque. Le père de Kader est heureux. Mercredi 31 janvier 2018

L’écran plasma est enfin déballé en famille. Le menuisier est là pour accrocher le poste contre la bibliothèque. Le père de Kader est heureux. Mercredi 31 janvier 2018

 Après 46 kilomètres à 3 sur le deux-roues de Moussa, un cousin de Kader, nous arrivons à Koonan, le village familial de Kader. Jeudi 1er février 2018

Après 46 kilomètres à 3 sur le deux-roues de Moussa, un cousin de Kader, nous arrivons à Koonan, le village familial de Kader. Jeudi 1er février 2018

 Moriba, 34 ans, cousin direct de Kader. En plus de son activité champêtre, il s’occupe du kiosque à café et de la pompe à essence de Koonan. Samedi 3 février 2018

Moriba, 34 ans, cousin direct de Kader. En plus de son activité champêtre, il s’occupe du kiosque à café et de la pompe à essence de Koonan. Samedi 3 février 2018

 Dans le bus de la compagnie U.T.B., sur la route entre Abidjan et Duekoué. Mardi 30 janvier 2018.

Dans le bus de la compagnie U.T.B., sur la route entre Abidjan et Duekoué. Mardi 30 janvier 2018.

 Cela fait 3 mois qu’il n’a pas plu à Koonan. Chaque jour, les femmes récupèrent de l’eau du puit par seau de 20 litres. Vendredi 2 février 2018

Cela fait 3 mois qu’il n’a pas plu à Koonan. Chaque jour, les femmes récupèrent de l’eau du puit par seau de 20 litres. Vendredi 2 février 2018

 Aujourd’hui c’est vendredi. Kader fait ses ablutions avant la prière de 13 heures à la mosquée de Koonan. Vendredi 2 février 2018

Aujourd’hui c’est vendredi. Kader fait ses ablutions avant la prière de 13 heures à la mosquée de Koonan. Vendredi 2 février 2018

 Kader et sa grand-mère paternelle sont heureux de se retrouver. Ils ne se sont pas vus depuis trop longtemps. Il la surnomme, « chérie-coco ». Tous les deux sont très proches. Samedi 3 février 2018

Kader et sa grand-mère paternelle sont heureux de se retrouver. Ils ne se sont pas vus depuis trop longtemps. Il la surnomme, « chérie-coco ». Tous les deux sont très proches. Samedi 3 février 2018

 Kader n’était pas venu saluer la grande famille depuis 2002. Il pose ici avec les femmes de ses cousins. Samedi 3 février 2018

Kader n’était pas venu saluer la grande famille depuis 2002. Il pose ici avec les femmes de ses cousins. Samedi 3 février 2018

 Kader doit organiser plusieurs rendez-vous avec le chef de terre, le chef du village, le maire. Il sait qu’il va devoir négocier habilement pour installer son activité agricole.Vendredi 2 février 2018

Kader doit organiser plusieurs rendez-vous avec le chef de terre, le chef du village, le maire. Il sait qu’il va devoir négocier habilement pour installer son activité agricole.Vendredi 2 février 2018

 Son grand-oncle, Bangali (au milieu de l’image) et deux chasseurs guinéens. Ils viennent de chasser un agouti pour célébrer l’arrivée de Kader.Vendredi 2 février 2018.

Son grand-oncle, Bangali (au milieu de l’image) et deux chasseurs guinéens. Ils viennent de chasser un agouti pour célébrer l’arrivée de Kader.Vendredi 2 février 2018.

 Ibrahim, grand-oncle de Kader avec qui il compte aussi collaborer. Il tenait aussi à lui faire découvrir son champ. Avec son fils Mohamed, ils gèrent l’exploitation d’anacarde. Samedi 3 février 2018

Ibrahim, grand-oncle de Kader avec qui il compte aussi collaborer. Il tenait aussi à lui faire découvrir son champ. Avec son fils Mohamed, ils gèrent l’exploitation d’anacarde. Samedi 3 février 2018

 Machette de Moriba. Un outil incontournable à Koonan. Samedi 3 février 2018

Machette de Moriba. Un outil incontournable à Koonan. Samedi 3 février 2018